Petit argonien, ou est ’il née ? Dans le marais noir… son nom ? Il la oublier, sa famille ? Assassiner un soir de pleine lune…
8 ans… une journée comme les autre… ou presque.
……… se baladai à son habitude près des marais se souciant que d’une chose, sautiller et tenir fermement la main de sa mère, la seule personne qu’il aimer… Son père ? Il ne la jamais connue, et ça ne le déranger pas, de la famille ? Il ne connaissez que sa mère et sa lui suffisais.
Un soir, comme à son habitude sa mère lui raconter une histoire, il savait pourtant déjà lire, sa mère lui ayant appris dès son plus jeune âge, ce qui était passablement rare parmi les membres de sa race. Cette histoire parlé de créature gigantesque appelé « dragon » et de leur « enfant », comme à son habitude, une lueur indescriptible illuminé ses yeux noir de jais, cette histoire, bien qu’il les entendu des centaines de foi, le captiver toujours autant, mais ce soir la… Il ne l’entendrait pas jusqu’au bout…
Des cliquetis en métal se faisaient entendre au loin, suivie de hennissements, maman m’en avais parlé, elle appelé sa des chevaux, elle m’attrapa et me tira jusqu’à la porte situer derrière notre vieille cabane en bois, je compris a sa frayeur ce qu’il se passer… Des humains, créature malfaisante, traitant les gens de notre race comme des animaux dépourvue d’une parcelle d’intelligence et d’émotion :
-part …….… part loin ne te retourne pas… me chuchota ma mère me poussant pour que j’avance
-mais maman…
-part, je les retiendrais, il on vue la lumière au loin, si je m’échappe avec toi et qu’il ne voie personne, il risque de ratisser la foret a notre recherche, on mon dieux je suis désolé, je ne comprends pas comment des humain on réussit à s’aventurer jusqu’ici, maintenant part, et ne te retourne pas, je t’aime mon fils…
Je couru, comme me l’avait conseillé ma mère, je ne comprenez pas très bien ce qu’il se passer, mais je suivi les conseille de ma mère, comme toujours… Comme elle me l’avais appris… Puis un cri surgit… Et je me retournais, attrapant une branche pointu au passage, je couru… couru… couru, jusqu’à sentir met poumon bruler et voir la cabane se rapprocher. Regardant dans une des interstice tu bois, je compris ce qu’il se passer, les humain voulez capturer ma mère mais elle se debater, je contourna la cabane pour atteindre l’entrer, une branche craqua sous mon pied et humain a l’entré se retourna, sans même lui laisser le temps de réagir, je sauta, et lui planta la branche dans l’œil, l’effet fut immédiat, et tout se passa rapidement, l’homme s’écroula… j’attrape la dague pointu a son fourreau, je saute sur le deuxième homme… un éclair blanc illumine la cabane, me projetant sur un de ses mur…
Un humain m’attrape, et me mit un coup de poing…
Ma mère cria mon nom…
-Ta gueule répondit l’humain, tien tien en voilà un autre, de quoi ramasser un jolie pactole a la revente, je dois te remercier petit, sa fera une personne en moins avec qui partager le …
Il n’eux pas le temps de finir sa phrase que ma mère sauta sur la dague tomber de met main un peu plus tôt et la jeta en direction de la gorge de se monstrueux humain… Tout se passa encore très vite, un éclair blanc dévia la dague, sa venez de dehors… Par la fenêtre je vie une personne, illuminé par la pleine lune, portant une longue robe noir, surement un de ses allié…
-salope ! cria l’humain en saisissant sa dague, tu va comprendre ce qu’il en coute d’essayer de me tuer
-non !!!
Trop tard… Du sang… de partout… le corps de ma mère se vidant de toute énergie vitale aussi vite que mon corps se vider, de toute l’innocence qu’il contenait, de toute émotion positive, ma seule envie… tué…
-et toi mon petit, ta vie s’arrête la maintenant… si tu veux survivre, faudra obéir au ordre…
Il me frappa à la tête… Tout devint noir…
Après ça, ma vie devint un cauchemar, vendu de maison en maison pour faire les corvées, à manger, la seule chose qui m’aider à tenir était l’idée même de me venger, j’ai tenté de m’enfuir plusieurs fois et à chaque on foi, on ma rattraper, fouetter… Frapper pour avoir osé faire ça, mais ça ne me décourager pas, chaque fois je retenter, de la hargne en plus dans le cœur, et du sang dans les yeux, au fur et à mesure des années, plus aucun sourire ne se lisé sur mon visage, j’étais devenue une machine, mon corps endurcie par toute ses épreuve, une discrétion hors norme acquis après toute ses évasion raté, j’avais 16 ans, et ce soir-là je m’y prendrais autrement, oui, ce soir la serais le bon…
Je crochète met chaine avec ce vieux croche trouver quelque jour plus tôt, monte dans la cuisine d’un pas silencieux, attrape cette dague qui traine la… Et monte les escaliers en direction de la chambre des humains… Il fallait que je fasse vite… tuer les deux avant qu’un seul ne se réveille… D’un seul geste j’enfonce la dague dans la gorge du mal, un spasme secoua son corps, et la femelle commença à ouvrir les yeux, trop tard… il venait de lui arriver la même chose, je ne partis pas tout de suite, une sensation envahissaient mon esprit… du bonheur ? Nan c’était beaucoup mieux, un plaisir que je n’avais jamais ressenti jusqu’ici, indescriptible, un sourire n’acquît sur met lèvre aussi vite que le plus petite trace de bonté qui me rester, disparaissais de mon cœur emportant mon nom, et le souvenir de ma mère avec, je descendis les escaliers d’un pas lourd encore sous l’effet de ce qui venais se passer et sortie par la porte de derrières… je tua 3 gardes sur le chemin, sans oublier de les dépouiller au passage et cette nuit-là, je réussi à m’enfuir… une nouvelle raison de vivre en tête… Devenir plus fort, faire ce que j’aime, et me trouver un nom…
Quelque jour plus tard, un avis de recherche tournée, accrocher au mur des différente citée, je errai ici est là, volant des objets de valeur et de l’argent pour me nourrir, les revendant a des humain bizarre et sombre, que j’avais envie de tuer, mais bon… il me servait. Un jour alors que je ramené un autre trésor, l’humain me proposa quelque chose :
-Et petit, tu veux que ton avis de recherche disparaisse ?
Je ne compris pas ou voulait-il en venir, mais j’acquiesça :
-Je peux te présenter quelqu’un, de haut placé, moyennant un bon pactole il fera tout ce qu’il faut pour toi dit-il avec un grand sourire, mais pour ça, moi aussi je veux un bon pactole…
Apres quelque semaine de vols intensif je revenait avec la somme demander, et on me présenta a cette personne, un humain :
-qu’elle est ton nom petit ?
Je n’y avait encore jamais réfléchir, ma mémoire ne remonter que jusqu’à quelque mois, mais un nom me vin à l’esprit :
-kyrra
Je donna l’argent, est comme convenue mon avis de recherche disparue, je compris que ce monde marcher avec l’argent, tout marcher avec l’argent… Et que j’aimer sa…
Kyrra, 18 ans...
Un soir de pleine lune, un contrat particulièrement juteux, je m’approchai de la cible, dans ce camp retranché d’impériaux, tuant le premier garde et le faisant glisser dans la broussaille, tirant à l’arc dans la gorge du deuxième sans qu’il s’en aperçoive… Je me glissai dans la tente de la cible, m’approcha de son lit, et souleva la couverture d’un geste rapide, j’adorais regarder ma cible dans les yeux avant de lui asséner le coup fatal, mais ce soir ça ne se passerais pas comme sa… il n’y avait rien sous le drap…
Une douleur vive, et je m’évanouis, me réveillant sur un chariot accompagné d’un certain ulfric sombrage, de son acolyte et d’un sois disant voleur…
Message édité pour la dernière fois le : 19/07/2014 à 18:51